Résumé :
Sous le soleil éclatant de Provence, La Mélancolie des innocents résonne comme une veillée sous le platane. Victorin Jouve, vieux conteur en fauteuil, ressuscite un monde haut en couleur : un voleur de chevaux magicien, une aveugle voyageuse, un fabricant de réglisse… Face à lui, Milanoff écoute, note, s’imprègne.
C’est un roman où les morts bavardent encore, où les souvenirs ont le goût de l’huile d’olive et des histoires qu’on raconte en riant. Entre la gouaille de Pagnol et la poésie de Giono, Milovanoff célèbre la mémoire et la force du verbe, avec chaleur et nostalgie.